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Et si on caousait Gallo
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Et si on caousait Gallo
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Et si on caousait Gallo
10 juillet 2009

Eune jolie p'tite peste

Eune jolie pétite peste !

                   ( Etait au biaoue temps l’année derniêre)

                  C’est la saison des vacances, d’autes fâs tous les vacanciers qu’arrivaient cez nous été des parisiens, même si v’naient d’âillous !

Ac’tour on fait un p’tit mieux la différence.

Début Juillet j’avons r’çeues des «  Provenciaux », vous saie  ben ceux là qu’ habitent you qui fait tout l’temps biaue, tourjou du soula, i z’ont don bin d’la chance lé monde là.

Yan mais quand i décident dé v’ni cez nous ça change tout.

Si nos amis les grands parents  y’eux  acceptaient notre plée, les pétits n’étaient pas d’même, surtout la p’tite peste là. J’vas vous dire qu’o ma mis les nerfs en p’lote. Valez vâs !

La permière sérée ça fut a peu près bien , ol ‘té lâssée , est qu’ça fait d’la route de v’ni d’si lin !

Mais lé deuxiême sa, ça commencit.

O r’çu un coup d’fil dé sa mêre cor pue bête que j’l’o z’avas r’commandée.

_<< allo, ma chérie , tu vas bien , ça s’passe bien ?

_  Oui ça va bien , mais ici c’est moche et en plus ça sent la chêvre !

_  Et bla ! bla ! bla ! et bla ! bla !bla !

Quand o raccrochit , j’li d’mandit <<est ti cez nous qu’ça sent la chiève ?

_  Mais c’est partout autour de nous !qu’o répondit !

Eh bin qué j’li dit heureusement qué ça n’sent pas l’bouc, ça t’chang’rait. !>>

Lé lendemain, coup téléphone , la mêre avait poue pour sa progéniture, qu’o s’empouaisonne d’o note air polué

Et là, pue d’odeurs, mais , ol avait fré ol t’tait g’lée. Son pêre pris l’combiné , << Il faut te couvrir ma chérie, tu sais si ça va pas je peux v’nir te chercher !

Ça s’rait bien mais attend un peu quand même !>>

Eh bin oui, pour eune gosse capricieuse , son pêre était prêt a faire 1300 km pour sa p’tite chérie.

I faut dire qué sa mêre avait confondu les Baléares do note biau pouéye , mais l’temps n’est quand même pas pareille ; ol l’y avait mis en tout et pour tout eune espèce dé brassiêre pas bin épaisse ma fas. Comme note pétite peste la trouvait sale, j’li lo lavit et j’li propôsi pour aller d’hos, un coup vent tout neu, mais la pub qu’était d’sus né li conv’nit pas.

Mais vers 7 heures du sa j’la vis qui s’roulait do son cousin su la plouse mouillée, o n’avait pue fré.

Lé 3eme sa , ça fut d’autes chose, o s’pleignit a ses parents qué son cousin lô tapait, la grand mêre fut obligée dé causer es parents mais là, pareille auqhune vérité pour éclairer la situation.

Ma , j’arras donné eune sacrée mornife a ça , ol arret seue pourqua qu’o s’pleignait !

Pire cor , pour manger.

Au p’tit déj, o n’mangeait qu’si ça li faisait plaisi, sa grand mêre li sortait : fruits , yaourts et gâtiau.

<< Je t’ai dit que je n’en veux pas !!nà !!>>

Et dès qu’ol l’tait toute seule o s’goinfrait  ol allait jusqu'à bouffer 5 brugnions. J’vous l’dit ma : ya des coups d’pieds au qhiu qui s’perdent

Jé cré bin qu’si ça avait té la mienne, j’la z’arâs étourdie ;

V’la comment qu’les garçailles sont él’vés a c’toure.

                De votre visite FDBN

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